quinta-feira, 30 de abril de 2015

FOOTBALL FRANÇAIS

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Lyon : Arnold Mvuemba exprime sa frustration
Arnold Mvuemba, qui n’a plus joué avec l’OL depuis la 25e journée et le déplacement à Lorient (1-1), a fait part de sa frustration dans un entretien qui paraît dans le Progrès ce jeudi. «Peut-être, je dis bien peut-être, qu’il a un problème avec moi et qu’il ne veut pas m’en parler. Ca ne regarde que le coach et moi mais je sais ce qu’il m’a dit juste après la reprise de janvier. C’est du coup légitime d’être dans l’incompréhension», a déclaré l’ancien Lorientais qui semble étonné de se retrouver dans une telle situation.

Mvuemba (30 ans) qui n’a plus été retenu dans le groupe pro par Fournier depuis le 4 avril espère toutefois retrouver sa place pour les quatre dernières rencontres de la saison

OLYMPIQUE LYONNAIS. Fournier : « Ne pas avoir de regrets »


L’entraîneur lyonnais estime que les trois points d’avance pris par le PSG mardi soir au terme de leur match en retard face à Metz (3-1), ne changent pas la fin de saison lyonnaise. Son équipe doit être performante sur les quatre derniers matches pour rester à l’affût d’un faux-pas parisien.
Hubert Fournier, la victoire du PSG mardi et son avance en tête du classement, changent-elles la donne pour l’OL ?
On n’a pas notre destin entre nos mains, mais à nous de faire le maximum jusqu’au bout, car si Paris devait avoir une déconvenue, il ne faudrait pas avoir de regret de ne pas avoir tenu la cadence jusqu’au bout. On a la volonté de faire le meilleur résultat possible contre Evian TG, et on lutte contre une équipe parisienne qui fait un championnat incroyable aussi.
Faut-il déjà « blinder » la 2e place avant tout ?
On peut le voir comme ça. C’est important pour nous de gagner et d’être tranquille de ce côté-là, et la réception d’Evian doit y contribuer. La place sur le podium n’est pas encore tout à fait confirmée. Notre fin de saison est palpitante.
Paris peut aussi faire un ou deux faux-pas ?
Oui, cela peut arriver, ils ont perdu à Bastia, ils vont à Nantes et à Montpellier, qui ne sont jamais des terres d’accueil faciles. Sii ça doit arriver, il ne faudrait pas qu’on n’ait de regret de s’être loupé nous aussi.
Le président Aulas imagine que le titre puisse se jouer au goal-average, vous êtes encore devant, légèrement…
Si tout le monde rencontre le PSG comme Lille l’a fait, c’est sûr, notre goal average va fondre comme neige au soleil, mais on a vu les Messins faire un bon match et leur poser des problèmes quand même.
Vous affrontez un adversaire qui lutte pour sa survie samedi, Evian TG.
Evian n’est jamais une équipe facile à affronter. L’expérience des années précédentes montre que c’est une équipe qui sait bien gérer ses fins de saisons, et qui va chercher les points qu’il lui faut. En plus, elle est plus à l’aise à l’extérieur qu’à domicile, donc méfiance…
Arnold Mvuemba a exprimé sa déception de ne pas jouer dans nos colonnes, le comprenez-vous ?
Comme ceux qui sont amenés à moins jouer, il peut avoir ce sentiment, mais on n’est pas là pour faire plaisir ou du turn over, on est là pour mettre le meilleur onze possible pour cette fin de championnat. Cela fait des déçus, et je comprends qu’Arnold le soit. En plus, on a un groupe élargi car il y a moins de blessés, ça pousse fort, et ça fait des mécontents.
Vos joueurs, pour certains ont paru agacés à Reims, craignez-vous des attitudes individualistes ?
Je parle avec ces joueurs, mais aussi devant le groupe. Il ne reste qu’une vingtaine de jours (de compétition), cela va passer vite. Mais j’assume mes choix. Tant que ça reste dans le respect du groupe, du club, ça va. Ce serait bête de tomber dans le piège, et que cela brouille la formidable image qu’on a donné jusque-là, mais c’est de la cuisine interne.


ASSE. Lemoine forfait à Bastia

Le milieu de terrain de l'ASSE, qui souffre d'un problème musculaire, ne fera pas le déplacement en Corse, samedi. Idem pour Loïc Perrin qui est toujours blessé. Franck Tabanou est lui suspendu.

ASSE. Bayal Sall retrouvera Brandao avec plaisir


De retour sur les terrains après deux mois d’absence en raison d’une blessure aux adducteurs, le défenseur central de l’ASSE, Moustapha Bayal Sall a soif de compétition. Après une entrée probante face à Montpellier, il s’attend à un match délicat samedi soir, face à Bastia sur l’Ile de Beauté.
S’il avoue retrouver avec plaisir Brandao, il sait que le Brésilien, durant la rencontre, ne lui fera pas de cadeaux. « Brandao est mon ami mais samedi chacun va défendre son camp. Pendant 90 minutes, il n’y aura plus d’ami ».
Le combat entre ces deux « monstres » promet d’être âpre.



OL. Mvuemba ne « comprend pas » sa mise à l’écart


Arnold Mvuemba commence à trouver le temps long. Très long même. Il faut remonter au 15 février et le déplacement à Lorient (1-1) pour trouver trace de ses dernières minutes de jeu en Ligue 1. Pire, il ne fait même plus partie du groupe des 18 convoqués par Hubert Fournier depuis le déplacement à Guingamp le 4 avril.
Le joueur de 30 ans exprime aujourd’hui son « incompréhension » alors que l’entraîneur lyonnais lui avait semble-t-il fait comprendre qu’il compterait sur lui lors de cette seconde partie de saison. « Ca ne regarde que le coach et moi mais je sais ce qu’il m’a dit juste après la reprise de janvier. C’est du coup légitime d’être dans l’incompréhension. » Rappelons qu’à la trêve, il émargeait pourtant parmi les onze éléments les plus sollicités par le staff lyonnais. S’il ne cache pas sa « frustration », celui qui estime « ne pas foutre le bordel » assure « ne pas baisser les bras » et se « battre à l’entrainement » pour espérer retrouver une place dans le 11 alors qu’il ne reste que quatre matches à jouer.



Marseille à Metz, avec la peur du vide


Humilié vendredi dernier face à Lorient (5-3), éjecté de la course au titre en un mois, Marseille se déplace vendredi à Metz (20h30) pour la 35e journée de Ligue 1 avec la peur au ventre, et l’obligation de s’imposer.


Après n’avoir pris aucun point au moins d’avril - même les relégables lensois ont fait mieux, avec 1 point glané -, Marseille est en effet dans l’obligation d’en prendre enfin chez l’avant-dernier de Ligue 1. Avec encore moins de marge d’erreur que lors des quatre défaites précédentes.
Cinquième à cinq longueurs de la troisième place, occupée par Monaco, Marseille peut encore parier sur d’éventuels faux pas de ses vis-à-vis pour aller chercher cette place qualificative pour la Ligue des champions, son objectif de début de saison.
Une ambition aux allures de gageure, tant les dynamiques de ses rivaux, Monaco et Saint-Etienne (4e avec trois points de mieux) sont aujourd’hui favorables, et la sienne catastrophique. Mais à quatre matches de la fin de saison, l’OM n’a guère plus que ça pour espérer, un mois à peine après avoir disputé un «clasico» décisif dans la course au titre.
«Il reste quatre matches, importants vu notre classement, et il y a des objectifs à aller chercher», a expliqué le meneur de jeu marseillais, Dimitri Payet, l’un des seuls Olympiens à avoir surnagé dans ce mois d’avril catastrophique. «On a envie que ce match arrive vite. Vu celui de vendredi dernier, si on a un minimum d’orgueil on va rentrer sur le terrain à Metz avec l’envie de montrer que ce n’était qu’un accident.»
Privés de Brice Dja Djédjé, blessé, et de Jérémy Morel, suspendu, les Marseillais seront-ils capables de cette réaction d’orgueil? Ils se sont en tout cas fait tancer par leur président, Vincent Labrune, qui a expliqué sur le site de l’OM n’avoir «pas du tout aimé» ce qu’il a vu au Vélodrome.
«Ca ressemble à un suicide collectif. Il faut maintenant que nous restions soudés et que nous retrouvions surtout de la fierté et de l’amour-propre. C’est à ce prix que nous pourrons gagner nos quatre dernières rencontres et éviter un énorme gâchis...», a-t-il tonné.
Manque de résilience
Difficile de savoir si ce coup de colère pourra être suivi d’effets. En conférence de presse, Marcelo Bielsa a confirmé deux choses concernant l’état du mental marseillais: les joueurs adhèrent de moins en moins à sa méthode de travail à mesure que les défaites s’accumulent. Et ils manquent de résilience.
«Je n’ai pas réussi à améliorer la capacité de rebond de l’équipe, quand elle traversait des moments difficiles, a expliqué l’Argentin. Cette équipe a dû affronter une avalanche d’adversités, (...), moi je n’ai pas su maintenir la forme de l’équipe face à cela.»
Si l’Argentin espère une réaction d’orgueil contre Metz? «Avant chaque match, je pense toujours que l’équipe va jouer comme elle est capable de jouer. Mais quand les joueurs pensent que le procédé de l’entraîneur est inefficace, ils prennent leurs distances.»
Cette déclaration a le mérite de placer les joueurs face à leurs responsabilités, mais n’en risque pas moins de donner quelques sueurs froides au président olympien.
Car une nouvelle contreperformance priverait définitivement l’OM d’une qualification en Ligue des champions, et de la manne financière qui l’accompagne. Elle ouvrirait aussi un gigantesque gouffre sous les pieds des Olympiens, celui des illusions perdues et des efforts gâchés.

Supporters: l'ancienne ministre des sports, Marie-Goeorge Buffet, interpelle l'Intérieur sur des «dérives» au Parc des Princes

Alors que trois associations de supporters et la Ligue des droits de l'homme (LDH) bataillent devant le Conseil d'Etat contre le "fichier STADE" qui légalise le fichage des supporters du PSG, la députée (PCF) Marie-George Buffet s'inquiète des «dérives constatées récemment» au Parc des Princes. Dans une question écrite déposée mardi à l'Assemblée nationale, l'ancienne ministre des Sports interroge le ministre de l'Intérieur «sur le cadre régissant les pouvoirs de police administrative dévolus aux stadiers».

«Vérifications d'identité et expulsion de supporters»


«Plusieurs dérives ont été constatées récemment, poursuit la question, telles que le fait de procéder à des vérifications d'identité ou comme l'expulsion de supporters des tribunes le samedi 28 mars, au Parc des Princes, lors du match de foot féminin PSG-Glasgow, au motif que ceux-ci entonnaient des chants jugés excessivement contestataires.»

Madame Buffet demande au ministre, Bernard Cazeneuve, «qu'il précise les pouvoirs reconnus aux stadiers, personnels de sécurité privés, quant à leur capacité à relever les identités et aux conditions dans lesquelles ils sont autorisés à recourir à la force.»

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